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Valeurs des jeunes (1)


 

Les jeunes s'intéressent à la politique mais condamnent sa représentation



 

 

18 décembre 2006 - L'enquête Ipsos-Graine de citoyens réalisée auprès des 18-24 ans montre à quel point les jeunes sont éloignés des schémas politiques traditionnels. Ils se déclarent majoritairement proches "d'aucun parti", ont une mauvaise image des responsables politiques, qu'ils considèrent comme peu représentatifs de la société actuelle, et sourds à leurs préoccupations. La majorité déclare pourtant s'intéresser à la politique, et presque tous disent qu'ils iront voter.


Le sondage

 

 


 

Les principaux enseignements de l'enquête

Les jeunes ont une piètre image des hommes politiques et ont le sentiment de ne pas être suffisamment écoutés par ces derniers

79% des jeunes âgés de 18 à 25 ans ont une mauvaise image des hommes et femmes politiques, contre seulement 21% qui en ont une bonne image. Ce sentiment est partagé par l'ensemble des jeunes, quel que soit leur sexe, leur âge, leur niveau d'étude ou leur origine sociale. Ce déficit d'image s'accompagne d'un manque de légitimité. En effet, les jeunes se révèlent également très critiques à l'égard du système représentatif actuel et considèrent largement (79%) que « les personnes qui sont élues pour représenter les Français ne sont pas à l'image de la société actuelle ».

Jugés peu représentatifs de la société, les hommes et femmes politiques sont également massivement perçus (87%) par les 18-25 ans comme sourds à leurs préoccupations. Un jeune sur trois (32%) l'affirme avec certitude. Le sentiment d'être tenu à l'écart du débat occasionné par l'élection présidentielle est également très prégnant au sein de la jeune génération. Ainsi, les trois quarts d'entre eux (73%) estiment que la place accordée aux jeunes dans les programmes et prises de position des candidats potentiels n'est « pas assez importante », contre seulement 26% qui la jugent suffisante ou trop importante. Dans ce contexte et parmi les personnalités potentiellement candidates à l'élection présidentielle, les personnalités politiques qui leur semblent les plus à même de répondre à leurs préoccupations sont Ségolène Royal (56%) et dans une moindre mesure Nicolas Sarkozy (44%) mais on soulignera que dans cette enquête, les jeunes se sont déclarés plus à gauche qu'à droite. Dès lors, il est logique que la candidate socialiste arrive devant le leader de l'UMP, qui fait le plein auprès des jeunes proches de la droite (81%). En dehors de Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, Olivier Besancenot apparaît comme la personnalité la plus à l'écoute de leurs préoccupations (34%).

Un intérêt modéré pour la politique et un scepticisme sur l'impact réel de la future élection présidentielle

Une petite majorité de jeunes dit s'intéresser à la politique (57%), mais sans grand enthousiasme : seuls 16% s'y intéressent « tout à fait ». A l'inverse, 43% des 18-25 ans avouent ne pas s'y intéresser, dont 9% « pas du tout ». Notons que l'intérêt pour la politique croît avec l'âge (seuls 50% des 18-20 ans sont intéressés par ce sujet contre 62% des 24-25 ans) et le niveau d'études (41% des jeunes ayant atteint un niveau d'étude d'enseignement technique ou professionnel, contre 73% de ceux qui ont un diplôme universitaire de 2e ou 3e cycle)./p>

Certes, les jeunes sont largement dépassionnés à l'égard de la politique mais ils ne s'en sont néanmoins pas détachés de manière absolue, et s'ils se montrent critiques à l'égard du système, ils ne le rejettent pas en bloc. Ainsi, même si près d'un jeune sur deux ne se dit proche d'aucun parti (42%), une grande majorité d'entre eux (79%) estime que « les partis politiques sont indispensables dans une démocratie », dont 26% qui sont « tout à fait d'accord » avec cette assertion. Là encore, cette opinion est plus affirmée auprès des plus âgés et des plus diplômés mais s'avère majoritairement admise par toutes les catégories de jeunes.

Par ailleurs, 75% des jeunes inscrits sur les listes électorales ou ayant l'intention de s'inscrire d'ici le 31 décembre affirment être tout à fait certains d'aller voter à l'élection présidentielle de 2007. Il faut toutefois prendre ses chiffres avec prudence dans la mesure où il ne s'agit que de déclarations d'intentions. Lors des élections passées, les jeunes ne se sont pas déplacés massivement dans les urnes. Ainsi, le 21 avril 2002, la participation officielle était de 73% mais seuls 63% des 18-24 ans déclaraient être allés voter>

S'ils expriment, au moins dans leur discours, leur ferme intention d'aller voter, ils demeurent néanmoins assez sceptiques sur l'impact réel de l'élection présidentielle. Ainsi, ils sont très largement convaincus qu'aujourd'hui, « les responsables économiques ont plus de pouvoir que les responsables politiques dans notre société » (75% dont 21% qui sont « tout à fait d'accord ») et sont très partagés sur la question de savoir si le résultat de l'élection changera réellement quelque chose : 50% estiment que « le résultat de l'élection sera déterminant pour l'avenir et selon la personne qui sera élue, les choses n'évolueront pas de la même manière en France », mais 50% pensent à l'inverse que « quel que soit le résultat de l'élection, les choses ne changeront pas vraiment en France ».

Quoi qu'il en soit, le souvenir du 21 avril est peut-être encore dans les esprits et ils semblent se méfier du Front national. Ainsi, une grande majorité de jeunes estime que le Front national représente un danger pour la démocratie (72%), mais une minorité non négligeable considère toutefois que ce n'est pas un danger (28%). Les hommes (34% contre 21% des femmes), les ouvriers (36%) et les jeunes dont le niveau d'étude est l'enseignement professionnel ou technique (33%) sont plus nombreux à affirmer que le FN ne représente pas un danger pour la démocratie.

Un président au profil « atypique » ne serait pas sans susciter une certaine gêne chez les jeunes

Interrogés sur le profil du prochain président de la République, les jeunes se montrent assez réservés sur certaines caractéristiques. Ainsi, ils seraient massivement gênés (80%) que le futur président n'ait pas d'expérience gouvernementale, ce qui tend à montrer que les jeunes s'inscrivent dans un schéma de carrière classique dans leur manière d'appréhender la fonction présidentielle. En revanche, ils ne seraient majoritairement (62%) « pas du tout » gênés si le président n'était pas désigné par un parti politique. Concernant des caractéristiques plus personnelles, si le fait d'être une femme ne suscite plus guère de gêne (14%), le fait que le président soit juif (29%), homosexuel (30%), d'origine immigrée (44%) susciterait les réticences d'une minorité non négligeable de jeunes, voire d'une majorité s'il était musulman (51%).

Quel que soit son profil, le prochain président devra, du point de vue des jeunes, s'atteler en priorité à lutter contre le chômage (45%) et à augmenter le niveau de vie (36%), ce en quoi ils se distinguent peu du reste de la population. La sécurité des biens et des personnes (19%) ne leur apparaît pas comme un domaine prioritaire (alors qu'il s'agit traditionnellement de la principale préoccupation des Français avec le chômage), du moins pas autant que la défense de l'environnement (31%), la lutte contre la précarité (28%) ou l'avenir des retraites (22%).

Interview de Chrystelle Craplet par Constance Baudry pour Le Monde.fr

 

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D'après une étude de TNS SOFRES de novembre 2003, les valeurs prioritaires des jeunes entre 15 et 24 ans sont de loin la famille pour 52%, un métier intéressant pour 38% et les amis pour 37%.
Les filles sont plus sensibles à la famille puisque c'est la valeur n°1 pour 59% d'entre elles contre 44% chez les garçons.

Les jeunes ne sont plus séduits par la cigarette, qui ne fait plus "cool" du tout en cour de récréation... Ainsi 80% d'entre eux sont favorables à l'interdiction de vente des cigarettes aux moins de 16 ans et 68% à celle de fumer dans les établissements scolaires.

Famille, travail et santé dressent le portrait d'une génération rationnelle et pragmatique avec néanmoins quelques caractéristiques "exotiques" comme le piercing ou le tatouage où 43% des jeunes sont prêts à se faire faire un piercing ou un tatouage indélébile sur la peau…
Et aussi, dans la série des nouveautés, génération du téléphone portable oblige, 45% des jeunes estiment qu'il n'est pas grave d'arriver en retard à un rendez-vous.

Vous imaginez si en plus d'être en retard, les jeunes arrivent tatoués et avec piercings. Finalement cela n'est plus si rationnel…

Les valeurs des jeunes

Fiche Technique

Le 20 novembre 2003 - Notre étude réalisée pour Radio-France et le CERA (Centre d'échanges et de réflexions sur l'avenir) auprès des 15-24 ans permet de comprendre leur système de valeurs, leur rapport à la norme, leur appétence à l'engagement et leurs réactions à l'actualité. Les 15-24 ans apparaissent ainsi comme une génération homogène, pragmatique et rationnelle, qui dissimule néanmoins des lignes de clivage, notamment selon le sexe et l'origine des parents.

Un système de valeurs organisé autour de la sphère privée et relationnelle

Les valeurs des jeunes, les systèmes d'attitude avec lesquels ils abordent le monde qui les entoure mettent en évidence la prégnance des valeurs de la sphère privée et relationnelle, sur les valeurs de la sphère sociale et de son fonctionnement.

Cette hiérarchie de valeurs reflète ainsi le recentrage des jeunes sur un réel proche et palpable ; l'environnement personnel direct avec lequel on interagit directement, plutôt que les grands enjeux de société ; la dimension humaine, plutôt que des principes normatifs de fonctionnement.

Les priorités des jeunes : famille, travail, amis

Interrogés sur les choses qui comptent le plus pour eux dans la vie aujourd'hui, les 15-24 ans répondent dans l'ordre : la famille (52%), trouver un métier intéressant (38%) et les amis (37%), avant le fait de se développer intellectuellement (18%), la liberté (10%), ou le fait d'avoir des responsabilités (10%).

Ces priorités varient peu en fonction de l'âge, mais diffèrent sensiblement en fonction que l'on soit fille ou garçon. C'est avec beaucoup plus d'intensité que les filles citent comme priorité la famille (59% contre 44% chez les garçons), le fait de trouver un métier intéressant (44% pour 33% chez les garçons) ; tandis que les garçons accordent plus d'importance au sport (31% contre 7% pour les filles) et à la musique (22% contre 11% chez les filles).

L'importance de la sociabilité amicale

Interrogés sur leurs loisirs préférés, les jeunes mettent à nouveau les amis en tête de la hiérarchie (52%), même si les loisirs amicaux comptent davantage pour les filles (56%), que pour les garçons (47%), et plus entre 15 et 20 ans (54%), qu'après 20 ans (47%). L'importance de cette sociabilité amicale trouve ses fondements dans le partage d'une expérience commune, plus que dans celui d'un idéal ou d'idées communes : ainsi les jeunes déclarent que ce qui les rapproche le plus de leurs amis, c'est d'abord le fait d'avoir fait ses études ensemble (43%) ou de " bien s'amuser ensemble " (41%). Le fait de " partager les mêmes idées politiques ou intellectuelles, les mêmes valeurs ", ne recueillent que 19% des opinions. En revanche le sentiment d'appartenir à une même génération existe puisqu'il est cité par plus d'un tiers des jeunes comme socle de la sociabilité amicale.

Après les amis, dans la hiérarchie des loisirs, viennent le sport (38%, 50% chez les garçons et 26% chez les filles), la musique (37%), la fête (33%). A noter, que " faire des courses, acheter des vêtements ", est considéré comme un loisir à part entière, notamment pour les filles (41%)

Un idéal de vie centré sur la réussite individuelle

56% déclarent ne pas avoir d'idéal dans la vie, et notamment les garçons (61%), les moins de 20 ans (60%), ou les jeunes issus de milieux aisés (49%). Autrement dit l'idéal, c'est majoritairement de ne pas en avoir, c'est-à-dire de ne pas être enfermé dans un quelconque projet ou engagé sur une voie toute tracée.

44% expriment en revanche un idéal qui concerne avant tout la vie personnelle, qu'elle soit professionnelle (22%) ou privée (21%).

Pour autant, une génération qui n'est pas exempte de générosité,
et qui est prête à se mobiliser de manière concrète

Les 15-24 ans sont fâchés avec les grandes idéologies et les organisations qui s'en réclament, (ils rejettent les mots de politique, de partis politiques, et mettent en dernière position de leurs personnalités préférées, les hommes politiques). Pour autant, ils ne sont pas indifférents à la dimension collective des choses, à la condition que le collectif soit compatible avec leur subjectivité personnelle. Là encore, plusieurs signes en témoignent.

Quête de sens et générosité

Invités à citer les personnalités qu'ils admirent le plus, les 15-24 ans citent en premier Jamel Debbouze (42%, dont 53% parmi ceux dont les parents sont originaires du Maghreb) et Zinedine Zidane (39%, dont 60% parmi ceux dont les parents sont originaires des pays du Maghreb), deux personnalités qui renvoient à des valeurs fortes chez les jeunes : le rire, le sport et le métissage. Deux autres personnalités arrivent très vite derrière : le Dalaï-Lama (22%) et l'Abbé Pierre (20%).

Elles sont emblématiques de la quête de sens et de la générosité qui habitent cette génération (notamment à partir de 20 ans), et qui se traduisent aussi par un autre signe fort : 65% des 15-24 ans (un pourcentage qui monte à 70% chez les jeunes filles) se disent prêts à créer une association.

Un esprit d'initiative revivifié

Créer une association, mais également créer sa propre entreprise : 60% l'envisagent de manière tout à fait possible ou possible dans les mois à venir, et notamment les garçons (63%), issus de familles modestes (62%) et aisées (59%) et de parents d'origine du Maghreb (77%).

D'autres résultats témoignent de cet esprit d'initiative : 39% pourraient envisager de monter un groupe de musique, 43% d'adhérer à un syndicat étudiant.

Le respect de certains interdits.

Les 15-24 ans ont fortement intégré un certain nombre de normes, tout en se construisant leurs propres tabous au premier rang duquel on trouve le racket (83% le jugent inadmissible), mais également la vente de drogue ou la prise d'ecstasy et l'irrespect sous toutes ses formes : 71% jugent inadmissible de " traiter quelqu'un, même en plaisantant, de sale Juif ou de sale Arabe ", 62% d'insulter un professeur, 60% de manquer de respect à ses parents. Notons que sur toutes ces dimensions qui stigmatisent l'intolérance, les jeunes filles sont beaucoup plus sévères que les garçons.

En revanche, les jeunes dans des proportions non négligeables acceptent la transgression des règles ou des normes en ce qui concerne :

- le travail au noir : 59% ne le jugent pas grave,

- le fait de ne pas payer les transports en commun: 37% déclarent que ce n'est pas grave.

De la même façon, et génération du portable oblige, qui demande à réinventer toute une sociabilité et un nouveau rapport au temps, entre 40 et 50% des jeunes estiment qu'il n'est pas grave, ni d'arriver en retard à un rendez-vous, ni de ne pas débrancher son portable au cinéma ou au restaurant.

. n'interdit pas le goût du risque

71% des 15-25 ans envisageraient de pratiquer un sport extrême, et parmi eux notamment les garçons (79%) entre 15 et 20 ans.

Par ailleurs, plus d'un quart des jeunes interrogés n'excluraient pas de participer à une rave party, ni de fumer du haschisch : sur ce dernier point, le plaisir ne vient pas de la transgression ; en effet, 39% des jeunes estiment qu'il n'est pas grave de fumer du haschisch.

Le rapport au corps : la modification de l'apparence

En écho à la fois au progrès scientifique, et notamment à celui de la bioéthique qui a avalisé l'idée de modifier le corps, et de la volonté très présente dans la société française d'afficher sa maîtrise du corps, le piercing et le tatouage son entrés dans les mours des jeunes : 43% envisageraient de se faire poser un piercing, 43% également de se faire tatouer un motif indélébile sur la peau. Les jeunes filles sont plus enclines à ce genre de pratique que les garçons : 59% sont pour le piercing (contre 27% des garçons) ; 47% pour le tatouage (contre 39% chez les garçons).

Des opinions fortement constituées sur les grandes questions d'actualité

Les 15-24 ans ne se retrouvent pas dans l'image des jeunes telle qu'elle est donnée par les médias : ils le disent très fortement, à 80%. Sans doute ne se sentent-ils pas représentés, sans doute aussi la société n'accorde-t-elle pas assez d'attention à ce que pense cette génération.

Et pourtant ses opinions sur les grands sujets d'actualité d'aujourd'hui sont structurées :

- soucieux plus précocement de leur santé que les générations précédentes, les jeunes sont en train de contribuer à renverser la norme en ce qui concerne le tabagisme : 80% d'entre eux sont favorables à l'interdiction de vendre des cigarettes aux moins de 16 ans, 68% à celle de fumer dans les établissements scolaires ; 53% sont également favorables à la hausse du prix du tabac ;
- attentifs au débat sur la retraite, 66% se déclarent aujourd'hui défavorables à la réforme des retraites, telle qu'elle a été mise en ouvre par le gouvernement, tandis que 74% rejettent la suppression des aides pour les chômeurs en fin de droits ;
- sur la constitution européenne, les jeunes estiment avoir leur mot à dire : 77% sont favorables au principe d'un référendum ;
- sur l'interdiction du port du voile à l'école, les jeunes sont en revanche plus partagés : 58% sont favorables à l'interdiction du port du voile, contre 42% ; parmi eux seuls 38% des jeunes d'origine musulmane se déclarent favorables à une telle interdiction.

Une génération rationnelle et pragmatique

Le système de valeurs des 15-24 ans est assez homogène, ce qui autorise à parler de génération : une génération rationnelle, pragmatique, voire grave.

Cette homogénéité dissimule tout de même des lignes de clivage :

- Selon le sexe d'abord : les filles s'avèrent dans cette enquête beaucoup plus soucieuse que les garçons de trouver un métier intéressant, et de réussir leur vie professionnelle. Cela ne les empêche pas de s'investir, là encore plus que les garçons, au sein du cercle familial et amical. Elles ne badinent pas, par ailleurs, avec les règles, notamment celles qui concernent le rapport à l'autorité.

- Selon l'origine des parents : TNS Sofres a introduit une question sur l'origine des parents (pays du Maghreb, pays européen, France) qui a servi à ventiler les résultats, et qui permet de mettre en lumière la spécificité du point de vue des jeunes issus de l'immigration. Ces derniers sont bien plus nombreux que la moyenne à avoir un idéal qu'ils axent prioritairement sur la réussite professionnelle, et ils y mettent les moyens : leurs priorités, dans la vie c'est le fait de trouver un métier intéressant à égalité avec la famille, puis arrive en troisième position la religion. Les jeunes issus de l'immigration envisagent également, plus que la moyenne, de s'engager, soit en adhérant à un parti politique, soit en participant à des rassemblements, du type de ceux organisés par José Bové dans le Larzac.

Hélène VALADE

 

 


05/06/2007
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