Yoga et sports
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Le Hatha-Yoga part du principe fondamental que l'homme ne fonctionne pas uniquement sur le plan du corps physique, mais également sur un plan énergétique et sur un plan mental. L'ensemble de ces trois plans agissant l'un sur l'autre. le plan physique étant le plus "faible", le plan mental le plus "fort". De ce principe sont issues de nombreuses techniques : postures, respirations, concentrations, etc. qui permettent au sportif d'obtenir rapidement une amélioration de ses performances. Il est important de noter qu'il ne s'agit que de techniques, n'impliquant aucune position métaphysique ou religieuse.
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Le souffle c'est la vie, c'est l'élément magique qui permet de tout réaliser quand on le maîtrise,..... |
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Les techniques du yoga pouvant être mises à la disposition d'un l'athléte ou d'une équipe sportive sont nombreuses et variées. Cependant l'acquisition et la maîtrise de ces techniques pour les intégrées directement dans l'activité sportive supposent un programme d'entraînement méthodique.
Chaque athlète est unique et à chaque sportif correspond une approche individualisée de l'entraînement. Il serait complètement illusoire et utopique de présenter un programme type en fonction de l'activité sportive. Il n'y a pas de standards prédéfini. |
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2ème étape : La phase d'apprentissage
Cette phase au départ relativement loin de la compétition, va conduire l'athlète, progressivement, de palliers en palliers, vers son ou ses objectifs.
Cette phase d'apprentissage va permettre à l'athlète d'utiliser les techniques du yoga directement dans son activité sportive. Dans un premier temps le transfert de ces techniques se fera au travers de l'entraînement puis directement en compétition.
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3 ème étape : La phase de compétition
Il va devoir intégrer complètement les techniques apprises et maîtrisées dans la phase précédente pour jouer avec et les mettre en application au moment voulu dans les compétitions. Les techniques du yoga sont intégrées complètement dans les différentes phases de la compétition. L'athlète apprend à mettre en oeuvre une ou plusieurs techniques, avant, pendant et après la compétition. |
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4 ème étape : la phase de récupération
Lorsqu'un athlète décide de faire un break entre deux périodes de compétitions, ou suite à une longue période de compétitions et avant de reprendre l'entraînement, ou pour d'autres raisons, il lui est impératif de se ressourcer, de récupérer afin que la reprise se fasse sur des bases solides et saines. |
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L'Albatros, le parcours de l'Open de France, a un nouveau record. Et c'est l'Argentin Eduardo Romero qui en est l'auteur. Ce dernier a en effet rendu vendredi une carte tonitruante de 62, soit neuf sous le par, et a pris, par la même occasion, la tête du classement provisoire.(Par Julien Van Der Feer). Un Argentin impressionnant. C'est un Argentin hallucinant qui a éclairé l'Open de France ce vendredi. Eduardo Romero a en effet été l'auteur d'un second tour canon. Le Sud-Américain a rendu une carte de 62, soit pas moins de neuf coups sous le par, établissant le nouveau record du parcours. Un score notamment dû à un allé dantesque, Romero n'ayant joué que 29 petits coups. «C'était fantastique. A tous les trous j'ai mis la balle en plein milieu du fairway, mon swing était parfait et en plus je rentrais de très bons putts. Tout était parfait. C'est la première fois de ma vie que je fais 29 sur une moitié de parcours», a-t-il déclaré lors de la conférence de presse. Et c'est donc tout naturellement que l'Argentin a pris la tête du classement provisoire. Une bien belle surprise pour ce golfeur qui a connu une saison difficile. «Quand je pense que sur les six tournois que j'ai disputés, je n'ai passé qu'une fois le cut, c'est incroyable de faire cela aujourd'hui. C'est ma pire année, tout allait mal dans ma tête», a expliqué Romero visiblement heureux de sa performance. Mais le plus surprenant reste la raison de ce regain de forme. Car si l'on a coutume de dire que le mental est au golfeur ce que l'eau est au corps humain, l'Argentin en est l'exemple le plus probant. "Je me suis remis au yoga, je n'en avais pas fait depuis longtemps et je pense que j'en avais besoin. Aujourd'hui, je suis dans un état totalement différent d'il y a trois semaines. Mentalement je suis positif. Je me sens fort», a-t-il expliqué. Ainsi, à 50 ans, l'homme semble plus en forme que jamais."
Q : Lors du colloque de l'INSEP en juin dernier (2001) sur le thème "Sport et santé", les athlètes de haut niveau ont exprimé leur attachement àl'harmonie de la personne, de l'équilibre entre le physique, le psychique et l'affectif. Qu'est ce que cela vous inspire comme réflexion ? R : Le Yoga est une pratique de l'harmonie : je ne fais pas du yoga, je suis en Yoga si quelque soit le type de travail, de respiration, de posture, d'être, je suis totalement dans ce que je fais. Harmonie, c'est un maître mot. Sans harmonie il n'y a pas de yoga alors qu'en sport il peut y avoir des résultats sans harmonie, ce n'est pas une nécessité. En Yoga c'est l'essence même. C'est pourquoi on associe le travail du souffle et des postures, le pranaynmn avec le centre de l'attention, mon attitude générale avec mon rapport au monde. Q : Comment faîtes-vous la relation entre Yoga et sport, entre la pratique du yoga et le sport de haut niveau ?
Q : Ce travail désarçonne les sportifs de haut niveau. Quelle est votre attitude par rapport ô cette perte de repère ?
Q : est-ce que ces pratiques ont une incidence sur la gestion du groupe ?
Q : Vous avez parlé de pratiques de compensation. Pouvez vous préciser ?
Q : pouvez définir rapidement les postures ?
Q : pouvez définir rapidement le travail de respiration ?
Conclusion : La pratique du yoga s'adresse à tous, elle provient de l'Inde mais il n'y n pas de nécessité à l'accompagner de fioritures. Elle ne nécessite pas d'avoir un gourou, ou de faire brûler de l'encens dans Ia pièce. C'est juste des moments où on est de plus en plus avec soi-même : sur un stade, en courant ou chez soi. D'ailleurs l'ensemble des pratiques orientales, sous des formes différentes, ont abouti à la même chose. Source INSEP |